Burundi. Il faut libérer un opposant politique critique à l’égard du pouvoir

L’arrestation de l’ancien député Fabien Banciryanino le 2 octobre 2020 pour des accusations de rébellion, de dénonciation calomnieuse et d’atteinte à la sécurité intérieure de l’État adresse un message clair, à savoir que le nouveau gouvernement du Burundi ne tolère pas la dissidence pacifique. Si les accusations portées contre lui se fondent uniquement sur des déclarations qu’il a faites, Amnesty International invite les autorités burundaises à libérer immédiatement et sans condition cet opposant politique qui s’exprime ouvertement sur les questions liées aux droits humains dans le pays.

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