Les services de renseignement et les forces de sécurité iraniens ont commis des actes effroyables, se rendant coupables de viols, de viols collectifs et d’autres formes de violences sexuelles, qui constituent des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements. Ces violences ont été infligées à des femmes, des hommes et des enfants, parfois âgé∙es d’à peine 12 ans, qui ont été détenu·es arbitrairement en lien avec les manifestations organisées dans tout le pays entre septembre et décembre 2022, dans le cadre du mouvement « Femme. Vie. Liberté. » déclenché par la mort en détention de Mahsa/Zhina Amini.