Le 10 mai, le défenseur des droits humains Jeannot Randriamanana – qui se trouvait en détention arbitraire depuis deux mois – a bénéficié d’une libération provisoire. Le 12 juillet, la Cour d’appel de Fianarantsoa a confirmé sa condamnation et sa peine de deux ans avec sursis pour des accusations de « diffamation et humiliation de membres du Parlement et de fonctionnaires, et usurpation d’identité ».