Des manifestant·e·s pacifiques ont été confrontés à des restrictions sévères. De nouvelles obligations ont été mises en place en matière de déclaration pour les ONG qui recevaient des financements étrangers. Des journalistes et des militant·e·s critiques à l’égard du gouvernement ont été la cible d’attaques sur les réseaux sociaux et de poursuites judiciaires sans fondement. Plusieurs lois ont été utilisées pour restreindre le droit à la liberté d’expression et pour empêcher les journalistes et les médias de critiquer des personnalités publiques. Les violences liées au genre demeuraient systémiques et n’étaient pas toujours signalées. Les auteurs de ces violences étaient rarement poursuivis. Les conditions de détention ne respectaient pas les normes minimales en matière de droits humains, et ont dans certains cas entraîné des décès.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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