Un groupe de personnes ont été arrêtées pour des accusations liées à leur participation à des manifestations pacifiques à Kempir-Abad contre un nouvel accord frontalier controversé avec l’Ouzbékistan. Plusieurs sont assignées à résidence et d’autres sont maintenues en détention provisoire dans des conditions déplorables. Certaines sont inculpées de « tentative de renverser le gouvernement avec violence » et encourent jusqu’à 15 ans de prison.