Les élections présidentielles algériennes se tiendront le 7 septembre 2024, dans un contexte de fortes restrictions pesant sur l’espace civique et de répression des droits humains, notamment de la liberté d’expression, de réunion pacifique et d’association, ainsi que de la liberté de la presse. Outre ces restrictions continues, Amnesty International est préoccupée par une série de dispositions législatives adoptées par les autorités pour entraver de toute évidence l’exercice effectif des droits humains dans le pays.