Le 25 décembre 2024, la Cour d’appel du Tribunal pénal spécial d’Aden a acquitté le journaliste Ahmad Maher. Cependant, le parquet pénal spécial a exigé un garant et le versement d’une « garantie commerciale » comme conditions à sa libération, conditions que sa famille n’est pas en mesure de remplir. Le 28 mai 2024, le Tribunal pénal spécial a condamné Ahmad Maher à quatre ans d’emprisonnement à l’issue d’un procès manifestement inique pour diffusion d’informations fausses ou trompeuses, une infraction qui n’est pas reconnue au titre du droit international, et falsification de documents d’identité.