Toutes les parties au conflit, qui contrôlaient différentes parties du Yémen, ont continué à détenir arbitrairement, à soumettre à des disparitions forcées et à poursuivre injustement en justice des défenseur·e·s des droits humains, des journalistes, des employé·e·s d’organisations humanitaires ou de défense des droits humains, et des personnes critiques à l’égard du bilan et des politiques des autorités en matière de droits humains. Des tribunaux de tout le pays ont prononcé des condamnations à mort, parfois à l’issue de procès manifestement inéquitables. Toutes les parties au conflit ont entravé arbitrairement la distribution de l’aide humanitaire. Les autorités houthies de facto ont continué d’interdire aux femmes de circuler sans un membre masculin de leur famille, portant ainsi atteinte à leur droit de travailler, entre autres droits fondamentaux. Aucune des parties au conflit n’a protégé le droit des femmes au respect de la vie privée en ligne ni accordé réparation aux victimes de violences liées au genre facilitées par la technologie. Cette année encore, des personnes LGBTI ont été poursuivies en justice. Toutes les parties au conflit ont contribué à des dégradations de l’environnement.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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