Les autorités algériennes ont lancé une campagne répressive dans le cadre de laquelle des dizaines de personnes ont été arrêtées pour avoir exercé, de manière pourtant pacifique, leurs droits à la liberté d’expression et de réunion ; des partis politiques d’opposition et des groupes de la société civile ont été harcelés ; et l’indépendance de la justice a été compromise, au cours des mois ayant précédé les élections législatives de juin, a déclaré Amnesty International.