À la veille de l’élection du Nigeria au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU), en tant que membre non permanent, Amnesty International demande au gouvernement nigérian d’œuvrer à améliorer son bilan en matière de droits humains. Amnesty International l’exhorte à mettre en œuvre un programme en dix points qui traite, par exemple, des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées et de la torture ; d’un moratoire sur les exécutions ; de l’accès à la justice ; des expulsions forcées ; de la liberté d’expression ; et de la discrimination fondée sur le genre ou sur l’orientation sexuelle des personnes.
