Les droits à la liberté d’expression, de réunion pacifique et d’association restaient soumis à des restrictions injustifiées. Les actions judiciaires visant des membres des forces de sécurité pour des homicides illégaux et pour des actes de torture et d’autres mauvais traitements commis lors des manifestations de masse de janvier 2022 se poursuivaient, mais elles aboutissaient souvent à des peines non proportionnelles à la gravité des infractions. La police a régulièrement perturbé ou empêché le déroulement de manifestations politiques pacifiques dans les rues. La pratique d’une religion en dehors d’une organisation religieuse enregistrée demeurait interdite. Les femmes et les filles ont continué d’être victimes de violences généralisées. Les politiques d’action pour le climat sont demeurées insuffisantes.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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