Les sept jeunes hommes nommés ont vu leur peine confirmée par la Cour de cassation, à La Mecque, au mois de juillet. Cinq d’entre eux ont été condamnés à mort et deux autres à une peine de flagellation. Leur dossier a été soumis au Conseil judiciaire suprême. Si le Conseil approuve ces peines, leur application pourrait n’être qu’une question de jours.