Le défenseur bidun des droits humains Abdulhakim al Fadhli a été libéré de la prison centrale de Koweït le 2 août après avoir purgé le restant de sa peine de trois mois de prison pour « utilisation abusive de son téléphone ». Il attend désormais que la Cour de cassation pour les délits mineurs rende son verdict le 22 septembre, pour une inculpation de « rassemblement illégal » dans le cadre d’une autre affaire.