Plusieurs des indigènes qui avaient été enlevés le 16 septembre 2000 – par des membres d’une formation paramilitaire bénéficiant du soutien de l’armée, selon certaines sources – ont été libérés. Amnesty International reste préoccupée par la sécurité des personnes demeurées en captivité et des membres des autres communautés indigènes de la région.