République Démocratique du Congo (RDC) : Action complémentaire: Craintes de torture / « disparition » / exécution

Jean-Marie Rusimbuka, membre du Bureau sur le terrain en RDC du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, a été relâché sans inculpation le 10 janvier. Il semble que les pressions diplomatiques exercées sur le gouvernement congolais, notamment par les Nations unies, aient contribué à sa libération. À la connaissance d’Amnesty International, aucune des autres personnes appréhendées à la suite de cet apparent complot visant à organiser un coup d’État n’a été relâchée, et l’organisation craint toujours qu’elles ne soient torturées dans le cadre de leur détention au secret. Il semble que certaines d’entre elles aient « disparu ».

Choisir une langue pour afficher le rapport

Télécharger le PDF