Le 26 septembre, Victoria Biran, une militante en faveur des droits humains, a été arrêtée alors qu’elle se rendait à la Marche des femmes à Minsk. Deux jours plus tard, elle a été condamnée à 15 jours de détention administrative, qu’elle purge au tristement célèbre centre de détention de la rue Akrestina, établissement devenu synonyme de torture. Dans de nombreux cas similaires, la détention a été prolongée. En tant que militante LGBT+, Victoria Biran est exposée à un risque accru de mauvais traitements. Cette femme est une prisonnière d’opinion et doit donc être libérée immédiatement et sans condition.