Bien que les autorités du Bangladesh aient assuré Amnesty International que les mesures qui s’imposaient avaient été prises pour protéger Rowshan Ara Begum, l’Organisation estime que cette femme est toujours en danger, celle-ci, ses proches et certains témoins de l’accusation continuant de recevoir des menaces émanant des trois hommes remis en liberté sous caution.