Les huit militants condamnés le 15 août à des peines allant de quatre à un an d’emprisonnement à cause d’une manifestation pacifique à Sidi Ifni, une ville située sur la côte atlantique sud du Maroc, doivent se voir offrir la possibilité de contester les preuves retenues contre eux lors de leur procès en appel, a déclaré Amnesty International le 13 septembre.