Amnesty International est extrêmement préoccupée par la sécurité des Nelson Urrego, Blanca Valencia, Ludivia Giraldo, Sandra Herrera et Diana Herrera, dont le nom figure dans une lettre de menaces de mort parvenue le 6 décembre aux bureaux de la Corporación SEMBRAR, une organisation non gouvernementale colombienne de défense des droits humains.

