Les hostilités transfrontalières opposant le Hezbollah, groupe armé opérant au Liban, et les forces israéliennes se sont intensifiées à la suite des attaques perpétrées par des groupes armés palestiniens dans le sud d’Israël le 7 octobre. Alors que la crise économique persistait dans le pays, le gouvernement libanais n’a pas suffisamment protégé les droits à la santé, à la sécurité sociale et au logement de sa population. Cette inaction a eu des effets particulièrement dévastateurs sur les groupes marginalisés. L’impunité demeurait généralisée, profitant notamment aux responsables de l’explosion meurtrière survenue en 2020 dans le port de Beyrouth. Les autorités ont eu de plus en plus recours à la législation relative à la diffamation et à l’outrage pour réprimer la liberté d’expression et exercer des représailles contre les voix critiques, prenant en particulier pour cibles des journalistes, des syndicalistes et des militant·e·s. Elles ont systématiquement porté atteinte aux droits des personnes LGBTI. Certains pouvoirs publics ont attisé l’hostilité à l’égard des réfugié·e·s.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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