Les autorités libanaises et l’Union européenne (UE) doivent respecter leurs obligations au regard du droit international et s’abstenir de renvoyer de force des réfugié·e·s vers la Syrie, tant que les conditions d’un retour sûr, volontaire et digne ne sont pas réunies, ont déclaré huit organisations de la société civile, dont Amnesty International, le 2 mai 2024, alors que la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen s’apprête à se rendre à Beyrouth.