Les autorités irakiennes n’ont pris aucune mesure véritable pour traduire en justice les membres des forces de sécurité ou de milices liées à l’État ayant participé à la répression violente des manifestations nationales d’octobre 2019. Les forces de sécurité ont continué de soumettre des hommes et des garçons à des disparitions forcées et on ignorait toujours ce qu’il était advenu des milliers d’Irakien·ne·s qui avaient été victimes de tels actes au cours des années précédentes. Les autorités irakiennes ont porté atteinte à la liberté d’expression et élaboré de nouvelles lois pour restreindre encore plus ce droit. Elles ont intensifié leur répression visant les droits des personnes LGBTI. Les mesures de protection contre les violences fondées sur le genre étaient toujours extrêmement limitées dans le centre du pays et dans la région du Kurdistan irakien. La majorité des personnes déplacées, dont le nombre total s’élevait à 1,1 million, ont continué à vivre dans des conditions précaires, sans pouvoir jouir de leurs droits les plus élémentaires.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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