Des défenseur·e·s des droits humains, des journalistes et des responsables politiques de l’opposition, entre autres, ont fait l’objet d’enquêtes ou ont été poursuivis et condamnés de manière infondée. Les lois relatives à la lutte contre le terrorisme et à la désinformation ont été utilisées pour restreindre la liberté d’expression. La liberté de réunion pacifique a été illégalement soumise à des restrictions. L’aide distribuée au lendemain des séismes de février n’a pas permis de répondre de façon adéquate aux besoins des personnes en situation de handicap et de respecter leurs droits. Les violences faites aux femmes et aux filles demeuraient très répandues. Les discours discriminatoires et stigmatisants à l’égard des personnes LGBTI, des réfugié·e·s et des migrant·e·s se sont multipliés à l’approche des élections présidentielle et législatives du mois de mai. La Turquie restait le pays au monde qui accueillait le plus grand nombre de personnes réfugiées, mais certaines d’entre elles risquaient toujours d’être renvoyées illégalement dans leur pays. Les victimes de violations des droits humains commises par des représentant·e·s de l’État se heurtaient toujours à une culture de l’impunité. Des allégations graves et dignes de foi ont fait état d’actes de torture et d’autres mauvais traitements. Plusieurs millions de personnes vivant dans la pauvreté ont bénéficié d’un programme d’aide publique.
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