Les lois réglementant les manifestations pacifiques restaient contraires au droit international. Quelque 140 000 personnes étaient toujours privées d’accès aux soins de santé primaires en raison de la pénurie de médecins de famille. Les « personnes effacées » n’ont pas pu retrouver leur statut de résident·e·s et ne pouvaient toujours pas exercer leurs droits fondamentaux. Les Roms et les personnes LGBTI étaient en butte à la discrimination. Le gouvernement a durci les sanctions contre certaines émissions nocives, mais n’a pas tenu son engagement de supprimer les subventions aux combustibles fossiles.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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