Dans une lettre adressée mercredi 16 mars au chef du gouvernement slovène, Amnesty International appelle les autorités à garantir le droit de réunion pacifique, et plus précisément à renoncer à réclamer aux manifestant·e·s d’assumer les coûts exorbitants liés au maintien de l’ordre. De telles demandes sont de nature punitive et visent à dissuader celles et ceux qui souhaitent se réunir pour exprimer publiquement leurs opinions.