Les autorités ont déclaré l’état d’urgence, qui a entraîné des violations des droits humains à grande échelle, un affaiblissement de l’état de droit et une détérioration grave et continue de l’accès à l’information publique. Les attaques contre les journalistes et les défenseur·e·s des droits humains restaient monnaie courante. Les pouvoirs publics n’ont pas adopté de loi garantissant les droits des victimes de crimes de droit international commis pendant le conflit armé interne (1980-1992). L’interdiction totale de l’avortement demeurait en vigueur.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans