L’état d’urgence décrété en 2022, toujours en vigueur, a donné lieu à des violations des droits humains généralisées, à une érosion de l’état de droit et à la criminalisation de la dissidence. Les restrictions de la liberté d’association se sont multipliées, le droit de manifester pacifiquement restait entravé et des journalistes et des défenseur·e·s des droits humains ont cette année encore été stigmatisés. L’interdiction totale de l’avortement demeurait en vigueur. Les pouvoirs publics n’ont pas adopté de loi garantissant les droits des victimes de crimes commis pendant le conflit armé (1980-1992).
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans
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