Des groupes armés ont continué de commettre des atteintes aux droits humains, y compris des crimes de guerre. L’État islamique au Grand Sahara (EIGS) a lancé plusieurs attaques contre la population civile dans la région de Tillabéri, tandis que l’acheminement de l’aide humanitaire a été restreint par des mesures administratives. L’insécurité a entamé encore plus profondément les droits des femmes et des enfants, ainsi que le droit à l’éducation et le droit à la santé. En outre, les droits des personnes réfugiées ou migrantes ont été bafoués cette année encore. Des informations ont été recueillies sur des coupures d’Internet et d’autres violations de la liberté d’expression.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans