La grave sécheresse qui sévissait dans le sud de Madagascar a eu des conséquences dévastatrices sur un ensemble de droits fondamentaux, notamment les droits à la vie, à la santé, à l’alimentation, à l’eau et à l’assainissement. Au moins 2 747 détenu·e·s ont été graciés mais les centres de détention restaient surpeuplés et les conditions de vie y étaient mauvaises. Des professionnel·le·s des médias ont été harcelés pour avoir couvert des sujets tels que la pandémie de COVID-19. Les violences liées au genre, et en particulier les violences faites aux femmes et aux filles, étaient très répandues et l’avortement restait interdit. Les personnes LGBTIQ+ étaient toujours en butte à la discrimination.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort