Le 17 mars, le tribunal pénal de Mananjary a condamné Jeannot Randriamanana, défenseur des droits humains et enseignant dans le secondaire, à deux ans d’emprisonnement après l’avoir déclaré coupable de « diffamation et humiliation de membres du Parlement et de fonctionnaires, et usurpation d’identité ». La Cour d’appel doit statuer sur son appel le 10 mai.