Éthiopie

Amnesty International ne prend pas position sur les questions de souveraineté ou les conflits territoriaux. Les frontières apparaissant sur cette carte sont basées sur les données géospatiales des Nations unies.
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Vue d'ensemble

Les autorités ont réprimé les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique, notamment en intimidant des défenseur·e·s des droits humains et d’autres personnes, et en bloquant l’accès à Internet dans la région Amhara. Des militant·e·s, des défenseur·e·s des droits humains, des journalistes et des artistes ont été arrêtés et placés en détention de façon arbitraire, et certaines personnes ont fui le pays lorsque des lois relatives à l’état d’urgence ont été promulguées et utilisées contre des dissident·e·s pacifiques. Des informations ont fait état de crimes de droit international, dont des crimes de guerre, perpétrés dans le cadre du conflit armé dans la région Amhara ; les Forces de défense nationale éthiopiennes ont commis des homicides illégaux, y compris des exécutions extrajudiciaires. Le Premier ministre et son gouvernement ont continué de nier ces actes et aucune mesure significative en faveur de la justice n’a été prise. Le nombre de cas de violences sexuelles à l’égard des femmes et des filles a augmenté et la violence sexuelle liée aux conflits a perduré.

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État de la peine de mort

Non abolitionniste

La peine de mort est inscrite dans la législation

Voir le rapport d’Amnesty International 2024/25

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