Amnesty International craint que les autorités iraniennes ne soumettent Siamak Pourzand à des mauvais traitements – voire à la
torture – en détention, peut-être dans le but de lui extorquer des « aveux » en vue d’un futur procès. Aucune charge n’a été retenue
contre cet homme, qui est privé de son droit à une assistance judiciaire.