Dix-sept personnes, dont la défenseure des droits humains Azza Soliman, sont en cours de jugement après avoir témoigné à propos de l’homicide d’une militante pacifique lors d’un rassemblement dispersé par les forces de sécurité. La première audience de leur procès aura lieu le 9 mai. Elles risquent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.