Floribert Chebeya Bahizire et d’autres membres de l’organisation congolaise de défense des droits humains La voix des sans voix (VSV) se sont réfugiés dans la clandestinité pour ne pas être arrêtés. S’ils étaient capturés, ils risqueraient fort d’être torturés et Amnesty International les considérerait comme des prisonniers d’opinion, illégalement détenus en raison de leurs activités légitime de défenseurs des droits humains.