Vue d'ensemble
Le conflit armé s’est poursuivi et des groupes armés ont lancé au moins 70 attaques, tuant des dizaines de civils. La situation humanitaire a continué de se dégrader. Plus de 700 membres présumés de Boko Haram ont été jugés. Des centaines de personnes ont été arrêtées et poursuivies pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression et d’association ; certaines étaient des prisonniers d’opinion. Les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive contre des manifestants. Des réfugiés et des migrants ont vu leurs droits bafoués.
Peine de mort :
Abolitionniste en pratique
La peine de mort est inscrite dans la législation du pays ou territoire, mais les autorités n’ont procédé à aucune exécution depuis au moins 10 ans.
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Sadibou Marong
Attaché de presse Afrique centrale et de l’Ouest, +221 33 869 30 03 sadibou.marong@amnesty.org
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Les États d’Afrique subsaharienne doivent protéger les détenu·e·s du COVID-19
Afrique
Il faut que les pays d’Afrique subsaharienne protègent des vies en abolissant la peine de mort