Plusieurs organisations non gouvernementales de défense des droits humains demandent au de ministre de la Justice d’appliquer sans plus attendre les décisions de justice accordant la liberté provisoire à Christa Kaneza. La non-application de ces décisions est un affront à l’état de droit et constitue une violation de son droit à un procès équitable garanti par l’article 38 de la Constitution burundaise, l’article 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples et l’article 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques auquel votre pays est partie.