Les jeunes jouent un rôle clé dans la vision d’Amnesty International, qui est celle d’un monde où chaque personne peut jouir de tous les droits humains.
Le document Jeunesse, Énergie, Action ! Stratégie mondiale Enfants et Jeunes d’Amnesty International (2022-2025) donne les orientations du travail d’Amnesty pour, par et avec les enfants et les jeunes. Cette stratégie sera appliquée par des personnes de tous âges, mais ce sont les enfants et les jeunes qui en tiendront les rênes. En s’appuyant sur leur énergie, leur créativité et leurs talents, ainsi qu’en leur donnant les moyens de participer activement à tous les niveaux de nos activités, nous cherchons à créer un environnement dans lequel les enfants et les jeunes puissent pleinement contribuer à l’impact sur les droits humains et jouer un rôle central dans la concrétisation de notre vision et des priorités établies par le Cadre stratégique mondial.
À Amnesty International, nous travaillons avec et pour les jeunes sur les thématiques qui les concernent le plus. Les jeunes peuvent être perçus comme un ensemble homogène, défini exclusivement par l’âge. En réalité, leurs identités sont multiples et caractérisées notamment, mais pas seulement, par le genre, la couleur de peau, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre, le handicap éventuel ou la nationalité. En donnant aux jeunes les moyens de participer activement à tous les niveaux de nos activités, nous cherchons à créer un environnement dans lequel ils puissent pleinement contribuer à l’impact sur les droits humains.
Ensemble, nous pouvons mettre en œuvre notre pouvoir collectif.
Vibha Venkatesha, membre du Collectif mondial de jeunes
Télécharger le kit « Le pouvoir des jeunes pour les droits des jeunes »
Le kit décrit le processus d’élaboration et de mise en œuvre d’une stratégie nationale jeunes.
Sur quoi travaillons-nous ?
Gros plan sur les jeunes
Nos leaders jeunes à travers le monde
Le Collectif mondial de jeunes et les Ambassadeurs et ambassadrices des droits numériques.
Le Collectif mondial de jeunes d’Amnesty International est une équipe de jeunes meneurs/meneuses (âgé·e·s de moins de 25 ans) et de membres du personnel d’Amnesty chargé·e·s de thématiques Jeunes, issu·e·s du mouvement à l’échelle mondiale, qui promeuvent l’engagement et la participation des jeunes. Ils et elles sont des porte-parole qui offrent les conseils et l’orientation nécessaires en vue de réaliser les objectifs de la Stratégie internationale Jeunes, et cherchent des moyens de favoriser la mise en œuvre de ce document.
Les membres du collectif sont désigné·e·s pour un mandat de deux ans. Ils/elles se font alors les porte-parole des jeunes, en évoquant les thématiques qui les concernent et en partageant leurs points de vue, à la fois en interne et en externe, afin de contribuer à soutenir et élargir un espace facilitant l’engagement et la participation des jeunes, y compris à leur propre initiative. Ils et elles amplifient la voix des jeunes meneurs/meneuses et militant·e·s sur des questions d’intérêt pour les jeunes au sein d’Amnesty International et à l’extérieur, contribuent à l’ordre du jour des réunions mondiales, régionales et nationales de l’organisation en vue d’inclure les opinions des jeunes, et conseillent les équipes concernées à travers le mouvement quant à l’intégration des perspectives des jeunes dans tous les domaines et à tous les niveaux du travail d’Amnesty International.
Si vous souhaitez en savoir plus sur le Collectif mondial de jeunes d’Amnesty ou collaborer avec lui, contactez l’équipe mondiale Jeunes.
Faites la connaissance d’Eunice, de Charlie, de Pascaliah, de Samuel, de Katja, de Lewis, de Minna et de de la Rosa :
Andrea Eunice Vásquez (elle)

Eunice est étudiante en relations internationales à l’université latino-américaine de science et de technologie (ULACIT) du Costa Rica et a été stagiaire au département de Coopération internationale du ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Commerce. Actuellement, elle est stagiaire à l’Institut interaméricain des droits de l’homme et ambassadrice jeune mondiale de Theirworld.
Forte d’une longue expérience en matière d’économie, de ressources humaines et de conseil, Eunice a été nommée Meilleure déléguée aux conférences Simul’ONU de l’Université pour la paix (UPMUNC) et de l’institut Model United Nations (MUN). Elle a fondé la Commission des droits humains de l’ULACIT et représente l’université dans des compétitions de défense juridique sur des affaires relevant du droit international relatif aux droits humains.
Elle possède d’excellentes capacités de réflexion critique et de gestion de projet, ainsi que de solides connaissances juridiques. Elle travaille en tant que bénévole pour les Programmes interculturels de l’American Field Service (AFS) et la fondation SIFAIS.
En tant que membre internationale du Comité consultatif des jeunes d’Amnesty International, elle donne le point de vue des jeunes dans le cadre de campagnes mondiales et de consultations sur des lignes de conduite.
Lewis Ampem-Darko Osae (il/lui)

Lewis Ampem-Darko Osae est militant et étudiant de dernière année en ingénierie aérospatiale à l’université des sciences et technologies Kwame-Nkrumah (KNUST). Il possède plus de trois ans d’expérience à la tête d’un mouvement de jeunes et en matière de défense des droits humains. En tant que représentant des jeunes au sein de l’Équipe nationale de coordination Jeunes d’Amnesty International Ghana, il a joué un rôle déterminant pour faire progresser la participation des jeunes aux initiatives d’Amnesty. Lorsqu’il était à la tête du groupe Jeunes de la KNUST, le nombre de membres actifs du groupe est passé de neuf à 76 et la participation des membres aux activités d’Amnesty International Ghana a fortement augmenté. Lewis a également participé aux campagnes plus générales de l’organisation, notamment à l’édition 2023 d’Écrire pour les droits, pour laquelle il a aidé à recueillir plus de 10 000 signatures.
Outre son travail avec Amnesty, Lewis est jeune conseiller technique à la fondation Mastercard Ghana, au sein de laquelle il plaide en faveur de l’entrepreneuriat des jeunes dans l’agriculture. Il occupe par ailleurs la présidence de l’association des étudiant·e·s d’ingénierie aérospatiale, marine et automobile de la KNUST et participe activement à la défense de la santé mentale, en tant que conseiller pair.
Lewis a apporté de solides contributions à Amnesty International Ghana. Il a été reconnu meilleur responsable de groupe et le groupe Jeunes de la KNUST a été désigné comme le plus actif du secteur méridional à l’Assemblée générale 2024 d’Amnesty International Ghana, à laquelle Lewis a également participé en tant que rapporteur. L’exercice de son leadership, grâce auquel il a amélioré la participation des jeunes à différentes campagnes, est le reflet de son engagement en faveur des droits humains. Ses efforts ont eu des retombées sur plus de 3 000 personnes, notamment grâce aux progrès qu’ils ont permis d’accomplir dans la lutte contre les violences liées au genre et pour la sécurité en ligne. Le dévouement que Lewis consacre au travail de plaidoyer montre combien il croit au pouvoir du militantisme pour obtenir un changement social positif.
Katja Nübler

Katja, 23 ans, milite à Amnesty Allemagne depuis la ville de Munich. Originaire de la campagne bavaroise, Katja a vécu dans différentes villes d’Allemagne et à Madrid. Iel milite activement pour Amnesty International depuis l’âge de 14 ans, au titre d’abord de membre étudiant·e dans l’est de l’Allemagne, puis de représentant·e Jeunes à la section allemande et enfin de membre du réseau de coordonnateurs·trices Pays, actuellement.
Depuis longtemps maintenant, iel participe activement à un partenariat entre Amnesty Ghana et Amnesty Allemagne, dans le cadre duquel iel a appris combien il est important de décoloniser le travail de défense des droits humains, ce qu’iel ne cesse désormais de défendre. Par ailleurs, iel s’engage dans la sensibilisation et la protection contre la discrimination, afin de mettre en place une culture du bien-être dans notre mouvement ainsi que des moyens plus faciles de s’engager pour que toute personne se sente appréciée à sa juste valeur et acceptée.
Poursuivant des études de théologie catholique, Katja défend avec ferveur les droits des femmes et des personnes queers dans son église ainsi que dans les dialogues interconfessionnels et interreligieux. Qui plus est, iel a une passion pour la voile et les langues mortes. Au cours des prochaines années, Katja espère également apporter une contribution à la lutte contre l’antisémitisme et contre le regain de l’extrême-droite en Europe.
Minna Adlan (elle)

Fervente militante Jeunes au Soudan, Minna est étudiante en licence de droit, avec une spécialisation en relations internationales. Solidement engagée à défendre le droit international et les droits humains, Minna a acquis une expérience polyvalente en s’impliquant dans différentes organisations et initiatives internationales.
Elle est fermement convaincue qu’il est primordial de renforcer le pouvoir des jeunes et de favoriser des espaces de dialogue et d’action inclusifs. Par son engagement au sein de multiples organisations et initiatives pilotées par des jeunes, elle continue de porter les voix de la jeunesse sur la scène mondiale.
Elle apporte un point de vue unique à son travail, en se concentrant sur l’instauration d’une société plus juste et plus équitable. En raison de son attachement à défendre les droits et à produire du changement, elle a l’ambition de faire carrière dans le droit international, dans le but de produire un impact concret dans le monde.
Samuel Chou (il/lui)

Âgé de 17 ans, Samuel est un militant passionné, fier membre de la tribu autochtone taiwanaise des Amis. En tant que membre du collectif Jeunes d’Amnesty Taiwan, Samuel est à la tête d’initiatives de lutte contre la discrimination pilotées par les jeunes, en particulier en ce qui concerne la lutte contre la discrimination des populations autochtones.
Samuel est également membre du groupe de travail sur les droits humains du ministère de l’éducation taiwanais et membre du comité consultatif de l’administration du système éducatif K-12. Ces fonctions lui permettent d’exercer une influence sur les politiques éducatives pour qu’elles accordent la priorité à l’égalité et aux droits humains des enfants, des jeunes et des populations autochtones dans tout le pays.
Mû par un solide engagement à défendre les droits humains, Samuel a rejoint Amnesty International pour se battre dans l’intérêt des personnes victimes de discrimination et d’injustices. Il œuvre à porter la voix des groupes marginalisés, en faisant en sorte que leur discours soit entendu et que leurs droits soient reconnus.
Charlie Matthews (il/lui)

Charlie vit à Tāmaki Makaurau/Auckland. Il est inscrit en licence de droit et en licence d’art à l’université d’Auckland, avec une spécialisation en économie et des modules en mandarin. Il travaille également à l’université en tant qu’assistant de recherche et assistant d’enseignement.
Il possède une vaste expérience de l’engagement civique des jeunes et est devenu membre du bureau d’Amnesty International Aotearoa Nouvelle-Zélande en 2023, en tant que membre Jeunes coopté. Charlie a l’intention de mettre à profit son mandat au sein du Collectif mondial de jeunes pour favoriser la représentation des jeunes au sein de la gouvernance et sensibiliser le mouvement aux problématiques particulières à la région Asie-Pacifique, tout en œuvrant à atteindre l’objectif de protection des droits humains qui est celui d’Amnesty.
Pascaliah Nyaboke (elle)

Pascaliah est une leader dynamique, ardente défenseure de l’autonomisation des jeunes et des droits humains. Elle préside actuellement le comité consultatif Jeunes de l’Union européenne au Kenya, où elle défend la participation des jeunes aux processus de prise de décisions, la promotion du développement durable et l’amplification des voix des jeunes.
Journaliste et narratrice chevronnée, Pascaliah est en licence de communication et d’études des médias à l’université Kenyatta. Elle a également travaillé comme reportrice et présentatrice du journal à Pamoja FM, une station locale de son quartier où elle jouait un rôle de porte-parole des sans voix et de sentinelle pour obliger le gouvernement à rendre des comptes. Sa passion déjà profonde pour les droits humains et la justice sociale s’est aiguisée plus encore lors de son stage à Amnesty International Kenya, où elle a travaillé au service de communication, mettant à profit sa parole et ses compétences pour faire la lumière sur des problèmes critiques.
En 2024, Pascaliah a eu l’honneur de représenter le Kenya en tant que membre de sa délégation au Forum régional et à l’Assemblée mondiale d’Amnesty international, à l’occasion desquels elle a échangé avec de jeunes militant·e·s et des dirigeant·e·s du monde entier sur des sujets liés aux droits humains.
Profondément engagée en faveur du changement social, Pascaliah continue de défendre les droits des personnes marginalisées et s’efforce d’être une source d’inspiration et de motivation pour la prochaine génération de dirigeant·e·s. Elle est également convaincue que les jeunes ont le pouvoir d’amener un réel changement et doivent participer aux débats, surtout lorsqu’ils jouent un rôle crucial.
De la Rosa (elle/iel)

De la Rosa est militante Jeunes au Chili (Amérique du Sud) et étudiante en anthropologie sociale. Ses principaux domaines de travail sont le genre, l’environnement, l’Amérique latine et le monde arabe. Son militantisme est fortement influencé par le théâtre, la magie, l’action artistique ou « performance » et les arts en général. Récemment, de la Rosa a organisé des performances à caractère politique pour Amnesty Chili sur les migrations, les réfugié·e·s et la Palestine.
Les ambassadeurs et ambassadrices des droits numériques d’Amnesty International sont un groupe de jeunes leaders qui viennent du monde entier et ont un intérêt particulier ou une expertise dans le domaine des droits numériques. Ils font en sorte que le point de vue de la jeunesse soit au centre de la conception et de la mise en place du programme RIGHTS Click. En 2024, ils ont également joué un rôle clé en façonnant le Sommet mondial de la jeunesse pour les droits numériques, organisé en Argentine et accessible en ligne. Aujourd’hui à la tête du travail de campagne et de plaidoyer en faveur des droits numériques, ils bâtissent une communauté mondiale de défense des droits numériques des jeunes.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les ambassadeurs et ambassadrices des droits numériques, contactez l’équipe mondiale Enfants et Jeunes à l’adresse [email protected].
Roxanne Kythe Fado (elle), Amnesty Philippines

Kythe est une leader étudiante qui aime jongler entre ses études, ses activités de plaidoyer et son militantisme en faveur de l’environnement et du climat. Elle explore avec enthousiasme les intersections entre la justice climatique et les droits humains. Ses activités la conduisent à travers les Philippines, pour sensibiliser la population et susciter le changement partout où elle se rend. Kythe est également une défenseure des droits humains, une étudiante en sciences politiques et une chercheuse. Elle réfléchit actuellement aux droits numériques et à leur rôle essentiel dans le contexte des Philippines. Elle aimerait que la question soit abordée au niveau local, afin de garantir que les populations locales soient entendues et prises en compte. Sur son temps libre, Kythe trouve son équilibre dans la musique pop et dans tout ce qui se rattache à la génération Z.
Lisakhanya Mathiso (elle), ROOTS

Lisakhanya est une militante pour le climat de 21 ans, originaire de la ville du Cap, en Afrique du Sud. Elle est étudiante en technologies de l’information et de la communication. Passionnée par la justice climatique, Lisakhanya a activement participé à divers projets depuis 2019, notamment à l’initiative YouLead de l’organisation Project 90 by 2030, au groupe Youth Against the System (« Les jeunes contre le système ») de l’organisation Alternative Information Development Centre, et au Programme des ambassadeurs. Elle a également été porte-parole de l’organisation African Climate Alliance et a apporté une contribution essentielle au projet Jeunes du Project 90 by 2030, en participant à la génération de connaissances et de ressources afrocentriques sur le climat pour les jeunes en Afrique du Sud. Récemment, elle a lancé son propre projet, Refresh Initiative, axé sur la réduction des déchets textiles et électroniques par le recyclage et la réutilisation.
Franck Ngenzebuhoro (il), UNOY

Franck est un militant féministe et pacifiste, codirecteur de l’organisation Youth Empowerment and Leadership Initiative (YELI Burundi). Il plaide en faveur de la protection des droits des femmes et des filles et soutient des projets visant à améliorer leurs vies au niveau social et économique. Au sein de YELI Burundi, il axe son travail sur les droits numériques, l’éducation aux médias et à l’information, le plaidoyer, la prévention et la transformation des conflits, l’éducation et le développement économique. En tant que militant des droits numériques, il a contribué à la planification et à la mise en œuvre de l’initiative Talking Across Generation on Education (TAGe), dans le cadre de laquelle des jeunes de tout le pays sont invités à prendre part à des consultations en ligne et à des événements en direct.
Santiago Urdanivia (il), Restless Development

Santiago est un homme trans originaire de Pasto (département de Nariño), en Colombie. Il est étudiant en psychologie à l’université d’Antioquia, à Medellín. Il travaille avec des groupes de personnes aux identités de genre diverses, soutenant des personnes ne se conformant pas aux normes de genre. Santiago a participé à plusieurs initiatives visant à défendre les droits des personnes transgenres et LGBTQ+, ainsi que les droits humains de manière générale. Il a pris part à des discussions avec le gouvernement de Colombie, plaidant en faveur d’un meilleur accès aux services et d’une meilleure prise en charge dans les régions hors des grandes villes.
Grâce Charity MAMA (elle), Amnesty Togo

Grâce Charity est défenseure des droits humains et membre d’Amnesty International Togo. Depuis 2020, elle coordonne les activités du réseau de cybermilitant·e·s de la section, qui mène principalement des actions et des campagnes numériques en lien avec la liberté d’expression, l’utilisation responsable des réseaux sociaux et la santé maternelle au Togo. À l’échelle locale, elle est secrétaire du groupe local Dignité d’Amnesty International Togo, au sein duquel elle forme les membres et coordonne des sessions de sensibilisation sur l’éducation aux droits humains pour les jeunes dans les clubs d’école. Grâce dispose également d’une expérience solide en matière de développement communautaire grâce à son travail pour une association togolaise qui soutient les petits producteurs des zones rurales. Par ailleurs, elle est membre de l’organisation jeunesse « Alafia Jeunes », qui travaille en partenariat avec Plan International Togo pour promouvoir le traitement égalitaire des filles.
Niraphorn (elle), Amnesty Thaïlande

Niraphorn est étudiante à la Faculty of Liberal Arts, en Thaïlande. Elle a été activement impliquée dans les mouvements politiques de 2020-2021 en tant que membre du Front uni de Thammasat et Manifestation. Son travail de plaidoyer portait sur divers sujets, notamment les droits des citoyen·ne·s, la démocratie ainsi que les droits humains, et mettait particulièrement l’accent sur une réforme institutionnelle concernant la monarchie. En raison de ses activités, elle est devenue la cible de cyberattaques de la part des autorités de l’État. Cette expérience l’a sensibilisée aux questions des droits et des libertés numériques et a souligné l’importance de les protéger.
Rachana Dangal (elle), Amnesty Népal

Rachana est enthousiaste et déterminée à l’idée de commencer cette mission en tant qu’ambassadrice des droits numériques. Ses études de droit ont été le moteur de son engagement en faveur de l’avancée des droits numériques, dans le cadre de divers campagnes et événements. Elle souhaite promouvoir une culture de l’inclusivité en ligne et il lui tarde de collaborer avec d’autres ambassadrices et ambassadeurs qui partagent ses idées et de contribuer au travail impactant d’Amnesty International. L’objectif de Rachana est de faire d’Internet un lieu sûr pour tous et toutes et de transformer le monde numérique en un outil d’autonomisation.
Claudia Collins (elle), Amnesty Royaume-Uni

Claudia est une jeune militante, présidente du réseau Droits humains des enfants d’Amnesty. Son militantisme s’est concentré sur la préservation des droits humains et numériques des enfants en ligne, particulièrement en ce qui concerne les conséquences des réseaux sociaux sur la santé mentale des jeunes utilisateurs et utilisatrices. Claudia a écrit des articles pour le Telegraph et le Times sur les risques des réseaux sociaux et réalisé un documentaire, diffusé par la BBC, sur la manière dont ils contribuent à une augmentation des cas d’automutilation. Elle a été nommée parmi les jeunes leaders mondiales de la WOW Foundation en 2023. Claudia imagine un monde où la technologie serait un outil bénéfique. Alors qu’elle était bénévole au Ghana, elle a été témoin de l’impact de l’accès à la technologie sur le développement éducatif des jeunes filles, ce qui l’a motivée à plaider en faveur de changements dans l’éducation afin de soutenir les jeunes.
William Orora (il), Amnesty Kenya

William Enoch Orora est élève en troisième année à l’école Kabianga, dans le comté de Kericho, au Kenya. Il est passionné par les droits humains, et en particulier par les droits numériques, porté par la volonté de créer un environnement en ligne sûr et adapté aux enfants. En dehors de son travail de plaidoyer, William aime lire, écouter de la musique, jouer au football et faire des promenades à vélo.
Abril Perazzini (elle), Amnesty Argentine

Abril Perazzini, originaire d’Argentine, est actuellement étudiante en licence de sciences politiques. Elle est très engagée dans la défense des droits humains, en particulier dans le domaine du numérique. Depuis 2022, Abril Perazzini est une membre active du groupe Jeunes d’Amnesty International Argentine, au sein duquel elle dirige la Commission des droits numériques. Elle travaille par ailleurs pour le Bureau de recherche de l’UNICEF dans le cadre du programme Youth Foresight Fellowship, où elle se concentre sur le développement d’outils permettant d’avoir un impact positif sur les enfants du monde entier. Abril est mue par la volonté d’apporter des changements significatifs dans le monde, particulièrement en ce qui concerne les droits humains et le bien-être des enfants.
Mercedes Alvarez Treveset (elle), Amnesty Argentine

Mercedes est une lycéenne née à Buenos Aires qui aimerait travailler dans le domaine des relations internationales. Elle parle couramment espagnol, anglais et français, et a obtenu plusieurs diplômes attestant de son niveau dans chacune de ces langues. Mercedes se consacre à la défense des droits humains, en particulier les droits numériques. Depuis 2021, elle est engagée auprès d’Amnesty International Argentine, dont elle dirige la Commission des droits numériques aux côtés d’Abril Perazzini. Elle a notamment participé à plusieurs projets internationaux, tels que l’initiative Research Rebels.
Minna Adlan (elle), Membres internationaux, Soudan

Fervente militante Jeunes au Soudan, Minna est étudiante en licence de droit, avec une spécialisation en relations internationales. Engagée à défendre le droit international et les droits humains, elle a acquis une expérience polyvalente en s’impliquant dans différentes organisations et initiatives internationales. Minna est convaincue qu’il est primordial de renforcer le pouvoir des jeunes et de favoriser des espaces de dialogue et d’action inclusifs, afin d’amplifier les voix des jeunes sur la scène internationale. Son travail de plaidoyer visant à créer une société plus équitable et juste nourrit sa volonté de faire carrière dans le droit international, afin de produire un impact concret.
Lewis Ampem-Darko Osae (il), Amnesty Ghana

Lewis est militant et étudiant de dernière année en ingénierie aérospatiale. Il possède plus de trois ans d’expérience à la tête d’un mouvement de jeunes et en matière de défense des droits humains. En tant que représentant des jeunes au sein de l’Équipe nationale de coordination Jeunes d’Amnesty International Ghana, il a fait progresser la participation des jeunes aux initiatives de l’organisation de manière considérable. Lewis a également participé à l’édition 2023 de la campagne Écrire pour les droits, pour laquelle il a aidé à recueillir plus de 10 000 signatures. Il est par ailleurs jeune conseiller technique à la fondation Mastercard Ghana, au sein de laquelle il plaide en faveur de l’entrepreneuriat des jeunes dans l’agriculture, et occupe la présidence de l’association des étudiant·e·s d’ingénierie aérospatiale, marine et automobile de la KNSUT. Lewis participe activement à la défense de la santé mentale en tant que conseiller pair, et il a été reconnu meilleur responsable de groupe d’Amnesty Inernational Ghana. Grâce à ses efforts, le groupe Jeunes de la KNUST a été désigné comme le plus actif du secteur méridional à l’Assemblée générale 2024 d’Amnesty Inernational Ghana, à laquelle Lewis a également participé en tant que rapporteur. Le dévouement qu’il consacre au travail de plaidoyer montre combien il croit au pouvoir du militantisme pour obtenir un changement social positif.
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L’équipe mondiale Jeunes d’Amnesty International diffuse un bulletin Jeunes auprès de tout le mouvement, avec de courts articles portant sur le travail en direction de la jeunesse ou mené par de jeunes militant·e·s, ainsi que des ressources et des opportunités en lien avec les jeunes.
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