Des manifestant·e·s et des journalistes ont fait l’objet d’actes d’intimidation, de manœuvres de harcèlement et de poursuites judiciaires abusives pour s’être mobilisés sur des questions d’intérêt public. Aucune mesure crédible n’a été prise pour que les responsables de crimes de guerre aient enfin à rendre compte de leurs actes. Le gouvernement a au contraire cherché à édulcorer une résolution de l’ONU concernant le génocide de Srebrenica. La discrimination à l’égard des Roms et des personnes LGBTI, ainsi que des réfugié·e·s et des migrant·e·s, constituait toujours une préoccupation majeure. Le nombre de personnes réfugiées ou migrantes transitant par la Serbie a diminué, mais ces personnes restaient exposées à des abus et à des violences aux frontières.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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