Le gouvernement a intensifié la répression des droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique à l’approche des élections générales prévues en janvier 2024. Les autorités se sont appuyées sur diverses dispositions légales, notamment sur la Loi sur la sécurité numérique, pour s’en prendre à des journalistes et à des défenseur·e·s des droits humains, qui ont été victimes de détention arbitraire et d’actes de torture. Le nombre de disparitions forcées a augmenté dans des proportions préoccupantes et l’obligation de rendre des comptes après la mort de personnes en détention n’a pas été respectée. La sécurité au travail restait un rêve lointain pour un grand nombre de travailleuses et de travailleurs. De nombreux réfugié·e·s se sont retrouvés sans abri à la suite d’un incendie qui a ravagé un camp et après le passage d’un cyclone. Beaucoup étaient en outre en proie à l’insécurité alimentaire. Les Nations unies ont réduit les rations distribuées aux réfugié·e·s en raison d’un très important manque de financement. Le Bangladesh restait extrêmement vulnérable aux conséquences du changement climatique.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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