Les conséquences économiques et sociales de la pandémie de COVID-19 ont continué de frapper durement certains groupes en situation précaire. Plusieurs agressions ont été perpétrées contre des journalistes et d’autres personnes travaillant pour les médias, ce qui constituait une menace pour la liberté d’expression. Du fait d’un taux d’incarcération record, les conditions de détention étaient inhumaines. Les morts en détention demeuraient un grave sujet de préoccupation. Les violences à l’égard des femmes et des filles ont continué de prendre de l’ampleur, avec une hausse du nombre de féminicides et de meurtres d’enfants signalés. En dépit des poursuites engagées contre plusieurs militaires pour des infractions de droit commun constituant des crimes contre l’humanité commises sous le régime militaro-civil (1973-1985), aucun réel progrès n’a été réalisé en vue de faire la lumière sur le sort des personnes victimes de disparition forcée à cette époque.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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