Les restrictions de la liberté d’expression et de l’accès aux informations publiques ont persisté, suscitant des craintes quant à la transparence de l’État. Du fait de la surpopulation carcérale extrême, les conditions de détention étaient souvent inhumaines et le nombre de morts en prison était élevé. Des militaires ont été poursuivis pour des infractions constitutives de crimes contre l’humanité commises sous le régime militaro-civil en place de 1973 à 1985, mais les enquêtes concernant les disparitions forcées pendant cette période n’ont pas avancé. L’Uruguay restait un pays hostile pour les femmes et les filles, comme en témoignait le nombre élevé de féminicides et de plaintes pour violences à l’égard des femmes. Les services de santé mentale étaient insuffisants, tout comme certains programmes d’aide sociale. Les grossesses adolescentes restaient une source d’inquiétude. L’installation confirmée d’un centre de données laissait craindre des conséquences nocives sur l’environnement.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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