Les menaces à l’encontre de la liberté d’expression des médias ont persisté, de même que les obstacles à l’accès aux informations publiques. Du fait d’un taux d’incarcération record, les prisons étaient surpeuplées et les conditions de détention inhumaines. Le nombre de décès en prison restait préoccupant. Quelques militaires ont fait l’objet de poursuites pour des crimes contre l’humanité commis par le passé, mais les enquêtes sur les disparitions forcées n’ont pas beaucoup progressé. L’Uruguay restait un pays hostile pour les femmes et les filles, et le nombre de féminicides y a augmenté. L’accès aux services publics de santé mentale restait difficile. La qualité de l’eau potable a suscité des inquiétudes. Dans l’ensemble, le pays a continué de montrer des signes d’affaiblissement du système de garantie des droits.
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