Les forces de sécurité sont intervenues avec une force excessive lors de manifestations, en particulier dans des régions à forte population autochtone. Les victimes du déversement de pétrole de la raffinerie La Pampilla n’avaient toujours pas été indemnisées. Les défenseur·e·s des droits humains faisaient face à des risques importants et les homicides commis contre eux restaient le plus souvent impunis. Les violences sexuelles ou fondées sur le genre demeuraient très fréquentes, y compris contre les enfants et les adolescent·e·s. Les autorités ont entravé le droit à l’avortement de personnes mineures. Une nouvelle loi affaiblissant l’égalité des genres a été adoptée. Les personnes LGBTI restaient en butte à la violence et à une législation discriminatoire. Les autorités n’accordaient pas aux Vénézuéliennes et Vénézuéliens la protection qu’ils étaient en droit de recevoir. Les victimes de stérilisation forcée n’avaient toujours pas obtenu réparation. Les autorités ont remis en liberté l’ancien président Alberto Fujimori, au mépris d’une décision de la Cour interaméricaine des droits de l’homme et du droit des victimes à la justice.
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort uniquement pour des crimes exceptionnels, tels que ceux commis en temps de guerre
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