Le Parlement a maintenu l’interdiction des mutilations génitales féminines, mais cette pratique restait répandue. La traite des enfants à des fins d’exploitation sexuelle et le travail des enfants dans la rue demeuraient des sources de préoccupation. Les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique étaient toujours soumis à de sévères restrictions. Plus d’un quart de la population se trouvait en situation d’insécurité alimentaire. Des avancées ont eu lieu en matière d’obligation de rendre des comptes pour les crimes commis alors que l’ancien président Yahya Jammeh était au pouvoir.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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