Le gouvernement a accepté de mettre en œuvre la plupart des recommandations de la Commission vérité, réconciliation et réparation, y compris le lancement de poursuites contre l’ancien président Yahya Jammeh pour les violations des droits humains perpétrées sous son régime. La liberté d’expression des personnes qui critiquaient le gouvernement a été menacée. La police a fait un usage excessif de la force contre les manifestant·e·s. Les femmes sont restées sous-représentées dans la vie politique ainsi que dans les médias. Les prisons étaient toujours surpeuplées et des personnes ont été maintenues en détention provisoire de façon prolongée. Au moins cinq personnes ont été condamnées à mort.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi
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