Les autorités responsables d’attaques contre des militant·e·s et des défenseur·e·s des droits humains sont demeurées impunies. Elles n’ont pas mené d’enquête sur l’homicide illégal de Thulani Maseko. Les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique ont été régulièrement bafoués. Les dissident·e·s et militant·e·s d’opposition étaient en butte à des procès inéquitables dans lesquels ils encouraient de lourdes peines. Le droit à la santé était limité. Des centaines de personnes risquaient d’être expulsées de force. Le gouvernement a refusé l’enregistrement en tant qu’organisation d’un groupe de défense des droits des personnes LGBTI, malgré une décision en ce sens de la Cour suprême.
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans
Des outils de campagne que vous pouvez utiliser pour intervenir en urgence et protéger les droits fondamentaux des personnes.
Rapports, briefings, déclarations, communications et autres ressources produites par les chercheurs d’Amnesty.