Ramzi Romdhani, qui purge une peine de 29 ans d’emprisonnement, est privé de visites familiales depuis le 18 novembre 2010 par mesure disciplinaire. Il a indiqué à plusieurs reprises avoir été torturé et soumis à d’autres formes de mauvais traitements en détention, et Amnesty International pense qu’il est maintenant exposé à un risque accru de maltraitance.