Une femme, Salomina Kalaibin, morte le 6 mai des suites de blessures par balle est la troisième personne qui perd la vie simplement parce qu’elle a participé à une commémoration pacifique dans la province de Papouasie au début du mois de mai. Ces décès viennent rappeler de façon brutale que les militants politiques non violents, les défenseurs des droits humains et d’autres personnes continuent de subir de graves restrictions, et risquent parfois leur vie, pour exercer leur droit à la liberté d’expression et de réunion en Papouasie.