Les autorités ont à plusieurs reprises utilisé une force excessive pour disperser des manifestant·e·s, notamment des populations locales qui protestaient contre des activités extractives. La répression de l’opposition politique dans les provinces de Papouasie et de Papouasie occidentale s’est poursuivie. Des dizaines de Papous autochtones ont été arrêtés, et certains ont été inculpés de chefs passibles de lourdes peines d’emprisonnement. La liberté d’expression restait entravée dans un contexte où des défenseur·e·s des droits humains, des journalistes et d’autres personnes ont subi des attaques physiques ou en ligne ou ont été visés par des arrestations et des poursuites en vertu de lois répressives. Une nouvelle loi sanctionnant diverses infractions en matière de violence sexuelle a été adoptée, mais des victimes de viol ont été empêchées d’accéder à la justice. La peine de flagellation a été appliquée à titre de châtiment judiciaire dans la province de l’Aceh. Les forces de sécurité ont perpétré des homicides illégaux, notamment en Papouasie et en Papouasie occidentale, souvent en toute impunité.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi
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