Amnesty International demande la libération immédiate et inconditionnelle du militant des droits humains Zouheir Makhlouf, qui s’est vu refuser la liberté sous caution lorsqu’il a comparu devant un juge mardi 3 novembre 2009. L’organisation le considère comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement pour avoir exercé sans violence son droit à la liberté d’expression et s’être opposé pacifiquement au gouvernement tunisien.