Des mesures urgentes doivent être prises, notamment pour préserver les preuves et élargir l’enquête à travers l’État de Jammu-et-Cachemire, a déclaré Amnesty International le 22 août 2011, après qu’une équipe d’investigation de la police a rédigé un rapport confirmant l’existence de tombes anonymes contenant les corps de personnes ayant fait l’objet d’une disparition forcée.