Amnesty International condamne fermement le fait que le ministre des Ressources minérales, Gwede Mantashe, n’ait pas réellement donné aux membres de la communauté autochtone d’Amadiba la possibilité de faire entendre leur voix lors d’une réunion organisée le 16 janvier 2019. Cette réunion a eu lieu dans le cadre de consultations actuellement menées à l’initiative du ministère des Ressources minérales au sujet du projet minier dans cette région.