Le 15 mars 2000, une quarantaine de proches de personnes « disparues » en Algérie ont été arrêtés par les forces de sécurité alors qu’ils se rendaient à une manifestation prévue. Ils ont été relâchés au bout de quelques heures, mais ont été interrogés et avertis que s’ils manifestaient de nouveau, ils seraient emprisonnés.