Le nouveau gouvernement a adopté des lois compromettant davantage les droits des personnes réfugiées ou migrantes à la frontière entre la Pologne et le Bélarus. Les droits en matière de procréation, notamment un meilleur accès à l’avortement et la dépénalisation de l’aide à l’avortement, sont restés un sujet de débat politique, mais aucune modification n’a été apportée à la législation. Les personnes LGBTI restaient en butte à des discriminations. La Cour européenne des droits de l’homme a jugé que la Pologne avait violé le droit au respect de la vie privée en utilisant de façon abusive le logiciel espion Pegasus. La Cour suprême a confirmé un jugement mettant hors de cause trois militantes accusées d’« offense à des croyances religieuses ». Le Parlement a adopté une définition du viol fondée sur le consentement. Une part importante de la population vivait dans des conditions précaires et de promiscuité. Le gouvernement n’a pris aucune mesure pour l’abandon progressif à court terme des énergies fossiles.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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